12.02.2008
( Journal )
Avec l'hiver, d'autres voyageurs sont arrivés.
Des visages calmes où bouillonnent des visions fantastiques de paysages impossibles
Des soleils s'endormant doucement au creux de mains d'enfants
Des visages minuscules murmurant le récit oublié d'une ancienne romance
Le vent se glissant, sans un son, sous la ramure virginale d'un cerisier radoteur
Tout cela se perdra
Comme les larmes sous la pluie.
..pergolesi - cujus animam gementem
08:08 Publié dans Missives Du Kontrebas | Lien permanent | Commentaires (0)
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