( Podcast Mauvais Genres - France Culture - 12 Mars 2011 - Hammer Films )

Encore une émission de haute volée et très riche avec le festival Hammer Films à l'auditorium du Musée d'Orsay jusqu'au 27 mars (Les Maîtresses de Dracula, Les Deux Visages du Docteur Jekill, La Femme-Reptile, Frankenstein s'est Échappé et bien d'autres), retour sur le Festival Cartoon Movie de Lyon.

( HTC Desire, GMote et Steam )

Alors HTC Desire + GMote connecté au PC + GMote Server pour jouer à Audiosurf, c'est pas mal. Pas d'input lag mais une sensibilité à modifier sur le téléphone ainsi que des microlags dû à la connex wifi. De plus, on ne peut que difficilement cliquer sur les items des menus du jeu (mode de jeu, toggle popup file selecter, clic droit instantané). La phase in game se passe plutôt pas mal, reste que le morceau ci-dessous n'était pas le plus adéquat pour tester l'engin, la traffic congestion étant de 262 en Ninja Mono Elite non Ironmode.

..bentley rhythm ace - bentley's gonna sort you out!

( France Inter - Eclectik - 21.11.2010 - Manon Loizeau )

Elle nous parle pendant à peine une heure de son approche des politiciens russes, des rapports entre les milieux journalistiques et politiques de ce pays. Passionnant. Et si.

( Eclectik, C. W. Stoneking, Pilosité )

J'étais en train d'écouter la fin d'une émission tout à fait intéressante de France Inter, l'Eclectik du 26 décembre 2010 consacrée à Alain Cavalier, et était venu le moment de l'épilogue fameux, la Minute de Solitude de cet invité.

Après les aurevoirs, toujours enregistrés en live, il y eut le troisième et dernier interlude musical. Nous avions déjà eu droit à un joli Dalida des 60s, Pour Les Enfants du Pyrée, puis à une chanson d'Alain Bashung, J'ai Rêvé Que Je Te Reveux, et voilà que le responsable de la programmation musicale me lance un frisson, d'un de ceux qui rampent, approchant furtivement, te glissant la larme sous la gorge et t'électrisant les poils des bras, qui explosent en plein solo de trompette.

Il y en a de la belle, de trompette, dans cette chanson de Christopher William Stoneking, Brave Son of America, du blues d'à l'origine, des rythmiques ensoleillées encore humides d'une sévère et sombre averse. Je me suis étonné du timbre de sa voix : "Mais quel est ce vieux routard du blues qu'on vient de redécouvrir et d'exhumer ?", alors qu'il s'agit là des cordes vocales d'un australien de 35 balais. Pour voir ce monsieur en plein exercice live, c'est par là.

( I quattro dell'apocalisse )

Non, pas les Klaxons mais un Fulci de 75 que je verrais d'ici une semaine, mmmh :)