Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30.09.2004

( Fausse TS )

Je viens de transporter une centaine de courrier sur le bras, et me voilà avec une trentaine de marques transversales et picotantes digne d'un suicidé maladroit.

16:40 Publié dans Damned ! | Lien permanent | Commentaires (5)

Commentaires

C'est pourtant joli les scarifications! On appelera ceci la force des ecrits?

Écrit par : V. | 30.09.2004

Oh! de si belles portées!... à la mesure de leur persifleur en clef de bras. La transe aura feinte goutte gonflé les écailles. Une petite mort, sûre, ne sang plaindra pas.

Écrit par : Pollydiableàlaposte | 01.10.2004

V. > Ce n'est certainement pas le fouet de la pellicule, cinglée sous le regard du passant.



Pi > Qu'elle était belle, l'échelle aux arches droites comme des ifs sur le plat! Som ombre expire encore, regarde, là et là, comme une goutte d'absinthe noire séchée. Ca y est, vous m'avez donné soif.. Je descends.

Écrit par : .K. | 01.10.2004

mais oui... fuyons donc de ces coudes, le long du poids d'une peau rase, jusqu'à l'os d'une table que griffe encore un livre dilué de ses flaques nos abois alarmés.

Écrit par : Polly | 01.10.2004

Pourquoi? Accours ici à toutes jambes, le bout d'une légèreté de corne de muse, jusqu'à l'orée du bois que transperce un criévidé de ses frasques nos atours allongés.

Écrit par : .K. | 05.10.2004

Les commentaires sont fermés.