28.03.2005
( Todo List )
- mollo sur le laudanum -
Je me suis réveillé en sursaut. Dans un rai de lumière, une échelle de cordes pendait du plafond lisse.
Je me suis réveillé en tremblant. Le prof continuait son cours sur les neurotransmetteurs lorsque, à ses pieds, quelquechose troua le plancher et nous aspira tous.
Je me suis réveillé en sueur. Ta place était tiède et tu pleurais dans la salle de bains.
23:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
26.03.2005
( Calamar )
Passage au traîteur asiatique du coin il y a cinq heures, et repas de nouilles et tentacules de calamars. Une texture vraiment étrange, cette chair, dont l'élasticité devient molle et fondante après une paire de mastications.
22:50 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (0)
25.03.2005
( Boo Me Bippe )
17:35 Publié dans Betweenears, Bondage | Lien permanent | Commentaires (0)
( C'est Pas Ce Tien Sous L'Air )
17:30 Publié dans Betweenears, Bondage | Lien permanent | Commentaires (0)
( Unrepoplonducal )
12:16 Publié dans Missives Du Kontrebas | Lien permanent | Commentaires (0)
( Arôme Fruits Rouges Et Fruits Des Bois )
On répoplonduque pas des masses, mais l'instinct s'y accroche comme une groseille pas mûre à sa branche bien-aimée.
00:35 Publié dans Monophrasé | Lien permanent | Commentaires (2)
( Working Fast )
- le bord du gazgue est daube ligatoire -
00:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
23.03.2005
( Japanese Photoblog )
23:16 Publié dans Bondage | Lien permanent | Commentaires (0)
21.03.2005
( Craquement De Plancher )
- searching o'cedar directory.. missing -
23:00 Publié dans Missives Du Kontrebas | Lien permanent | Commentaires (2)
20.03.2005
( Non, Rien )
Je m'endors avec les oiseaux et d'autres certitudes, histoire de faire un CLS et de faire le vide pour mieux faire le plein.
Ouai bon, mh.
04:59 Publié dans Monophrasé | Lien permanent | Commentaires (2)
18.03.2005
( Cènes De Ménage - bis )
A force de lanciner, d'apather les étourneaux en folles farandoles, de parler à la nuit, de vouloir inscrire sur les murs des kilomètres d'insultes à la face du monde, on vient forcément par se mettre à glisser sur le sol rectiligne et rêche des si belles ornementations poussiéreuses de notre ô combien grande syphillisation, de vouloir y planter un transgalactique marteau-piqueur chauffé à blanc et de perpétrer un viol haineux. Si tu savais combien je te hais, objet tentaculaire, contagieux et pestiféré, si tu savais.. J'assisterai dans un calme désespoir à la fin de ta méprisable existence. Puisses-tu t'apercevoir trop tard que tu te ronges les entrailles depuis ta naissance, tes plaies purulentes te vidant doucement de tes dernières lueurs.
00:42 Publié dans Missives Du Kontrebas | Lien permanent | Commentaires (0)