08.01.2005
( Merci, Bonsoir )
Merci, Michael Stipe, de faire fleurir nos vertes prairies, mais il serait temps de sortit de mon bulbe, merci.
04:20 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)
07.01.2005
( A La Une )
- plan séquence -
15:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
06.01.2005
( Et.. )
..pendant ce temps-là, il était des vertes prairies embrassées par le Soleil.
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16:39 Publié dans Betweenears | Lien permanent | Commentaires (0)
( Dernière Objection )
- à vous l'honneur -
01:20 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)
05.01.2005
( Les Esprits S'Entrechauffent )
- vous voyez, mon vère, ce que je.. hein? bon -
Suite de notre entretien.
Il faudra penser à autodafer cet album, qui est intégralement premier degré, non répoplonducal, et totalement venu con. Mais ça reste un triple avis personnel.
22:15 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (0)
( Triolisme Platonique )
- merci d'édither, c'est pour la bonne qui cause -
Je pressens des conversations à trois, mon foie, très très intéressantissimisantesquisanteuses! Ensemble, nous nous préparons à remuer la poussière un peu partout, sans ronte ni beurre du riz d'Hiculle. En tout cas, sans glimounance inside. Ce thé t'y owned.
21:30 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (5)
( Instantané )
- serrez-vous un peu plus, certains ne sont pas dans le cadre -
16:05 Publié dans Missives Du Kontrebas | Lien permanent | Commentaires (0)
( Le Balcon )
- plus bas, plus bas -
Mais la jouissance gobe les jours comme les heures de sommeil, éviscère les raisons que le coeur ne connaît pas, dicte sa loi et amadoue les doigts dans l'thé tout projet de respirer un peu. Et encore, faut chercher. J'aimerais ne pas dormir, maintenir cette carcasse en service minimal, monter la température du liquide céphalorachidien et y faire plus de bulles encore.
Et j'avais oublié la faim.
03:20 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)
04.01.2005
( Dans Une Chambre )
- intérieur pâle -
Un bruit après l'autre
tout commence comme ça
en général
un rien
et un rien
et voilà
quelquechose d'un peu plus
comme cette femme
qui ne croyait plus
qui que ce soit
sauf ce qu'on lui racontait
tout bas
au creux de l'oreille
pendant son sommeil orageux
perdues entre quatre songes
et onze personnes lui parlant
en même temps
les mains devant sa bouche
réveil enfiévré
jour aigu entre les rideaux
retour de la perception
de son propre poids
de sa peau molle et flasque
et des ombres hallucinatoires
qui disparaissent trop vite
vite
retrouver le contact avec le réel
radio
petit-déjeuner
chaussons oubliés
c'est moi ou il fait froid
c'est moi
robe de chambre
bol
chicorée
casserole
eau
bouillir
pain
confiture
plus bas la radio
la surface du cerveau qui tremble
qui vibre presque
cuillère
confiture
tartine
chat
porte
dehors
nuit
nuit
mais
pas de chat
pas de chaussons
pas de chez soi
des réveils ailleurs
entre les quatre murs sales d'une arrière-cour
une route tout ce qui a de national derrière
pas ses habits
pas ses mains
elle n'a jamaisvu ses mains
c'est aujourd'hui qu'elle s'en rend compte
elle ne se connaît pas
ne veut pas risquer de ne pas reconnaître
le timbre familier de sa voix inconnue
nuit
pas faim
air tiède
mais comme s'il était enfermé
les sons assourdis de l'extérieur
enfermée
sous verre
pour la convenance de quelques curieux
attentifs à son comportement
revenu d'entre les cauchemars
pour en revenir à un autre
mais il n'y a rien à regarder
la confusion et la distance
exagérément réalistes des choses
la noie dans un abandon implacable
ce n'est pas elle
puis elle rentre
ferme la porte
et cherche un lit qu'elle trouvera
à la bonne place
ce n'est pas elle
dans une chambre
qui n'est pas à elle
dans cette maison vide et étrangère
aux rideaux à peine froissés.
22:38 Publié dans Missives Du Kontrebas | Lien permanent | Commentaires (0)
( Communiqué )
Pendant ce temps-là, ailleurs, il ne se passe plus rien. Rien. L'autre monde reste en suspens, à l'écoute, bouche ouverte et bave ruisselante, étonné d'être aussi bon et altruiste.
"Y a d'l'espoir", mais oui mon Gérard, mais oui. Et ces vingt dernières années, pendant qu'eux, là-bas, s'aimaient si fort, qu'y avons-nous fait?
13:25 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (1)
03.01.2005
( Damned Gouttes )
Allons bon, v'là ma Gueuze qui fuit du bas. Goutte à goutte d'autant plus étrange qu'il n'y a aucune fêlure visible. Donc voilà, sublime tableau en contre-plongée: bucco-analyse d'une vieille éponge sous une canette fraiche. Y en a des, j'vous jure, nan mais c'est pas possible, des fois.
Bon. Abréviation des jouissances.
21:19 Publié dans Damned ! | Lien permanent | Commentaires (2)