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18.05.2004

( Cuisine et Cinéphilie )

Je fais partie de la poignée d'humain mâles et célibataires qui accomplissent, presque chaque soir et sans doublure féminine, l'ultime tour de force de se faire un souper. Ou dîner. Parait que c'est juste une question d'horaire, moi c'est uniquement une question de dalle motivante ou fainéante. Ce soir, c'est donc la dalle motivante (quoique): du riz basmati, une demi-boite de ratatouille (aka purée of légumes 2000 avec des vrais morceaux d'iceux inside), powered by petits haricots verts, featuring boite de sauce tom' concentré, deliciously accompanied by une boite de thon. Pourquoi pas un oeuf en guest, je sais pas encore. Chuis un fou moi, chui un cramé du stomacal, je fais entrer l'improvisation au coeur même de l'improvisation! Je me fais tellement halluciner que je me bisoute d'admiration, tiens!

Bref. Le récit: dégainage de casserole. Eau froide: Oui, mais non: crachouillis subséquent à une précédente coupure d'eau, puis eau grise sombre, particules noires.. Ce soir, c'est cuisine à l'eau douce from bouteille. Poêle? Check. Thon? Yes it is. Schtroumpf-boite? Heuuu Ouvre-schtroumpf? Yeeeaaahh !! Riz? Et soudain, c'est le brâme.. Coup de boule frontal (lobe droit) dans la porte du placard! >_< {%#µ*$!! Mort de rire et un peu dèg je reviens écrire ces quelques mots, et hop! Tiens, sur arte, un extrait du prochain Rog.. (üps!) Michael Moore, Fahrenheit 911, je crois. Ca va être bon, un bétisier sur le n°1 américain! Pauvre nation. Re-hop, génocide du basmati dans l'eau qui bouille grave sa mère, j'éteins la plaque et couvre. Comme j'ai la vaisselle flemmarde, j'ai peur de la faire avec cette flotte contaminée à l'oxyde de plomb, tiens, bizarre. Pour me consoler, 1/2 litre de cette eau s'occupe en ce moment-même de la cuisson du riz, je reste donc aussi confiant dans la préservation de ma santé qu'en l'avenir du parc nucléaire russe.. Un ancien cinéma vient d'être rasé de l'autre côté de la grand'place, peut-être que.. Nnnnnaann.. >:) Pas possible! Bref. Laite sopeune zeu ton. Està hecho.. En me rasseyant, la fourchette dans la bouche (miam le thon - en boite), mon poignet gauche rencontre assez brutalement le manche fourchetteur par le dessous. Ma luette a failli se faire tétrapercer! Dommage, après le coup de boule, on redescend dans le banal routinier.. Tsss.. 'me déçois, Kik. A y est, ça se termine: sur le ciel azur de mon assiette, un immense nuage au doux parfum de riz basmatomathonlégumoeufthymcurry (beaucoup de curry ^_^), saupoudré d'emmental industriel râpé industriellement. Aaaaa taaaaaaaaaaaaableeeee !! !! Rauque haine rôle.

Et bien ce fut dé-li-cieux, merci! Maintenant, In The Mood For Love. Kar Waï Le Magnifique frappe once again, et de toujours plus belle façon. Droit dans les yeux, droit au coeur.

Je reviens noircir quelques pixels pour ne pas donner mon avis, ça serait bien plus irrespectueux qu'il n'y paraît. Merci, Wong, d'exister, cette perle de Chungking Express, Les Anges Déchus, Happy Together, votre premier court métrage, In The Mood For Love, et le clip pour DJ Shadow, Six Days, ont chacun d'eux marqué à jamais mon existence. Au-delà du plaisir de cinéphile, au-delà de l'amoureux de la chirurgie de l'image, au-delà du ressenti émotionnel, ma conscience ne contrôle plus rien devant vos oeuvres. Mon corps les vit. Merci. Longue vie!

11:40 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)

14.05.2004

( Fight Club 2 )

News découverte sur fluctuat.net, Fight Club 2 met en scène Marla Singer (PM pour son phone ;) ) dans un court tourné en DV par un collectif belge, Another State Of Mind. QuickTime 6 reukiraide, ADSL 462Tbits/s diantrement conseillé.

Comme je n'ai pas de son au taf ni les droits admin nécessaires à l'installation de QT pour voir ce film, dites-m'en des nouvelles!

Hop.

Fluctuat > http://www.fluctuat.net/breve.php3?id_breve=654
Site Fight Club 2 > http://www.originalversion.net/marla.html
Collectif Another State Of Mind > http://www.anotherstateofmind.be

13:45 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)

( Au programme ce soir )

A y est. J'ai *ENFIN* ramené un Outil pour changer la .css de mon blog. Hééééhéhéhééé, ça va donner dans l'expérimental, le fond d'écran, et les intitulés moi j'dis! ^_^. Et pour alléger un peu - par rapport à hier -, je voulais balancer la portée de ma sonnerie de portable, modeste Nokia de 1978, mais je l'ai un peu oublié au taf, on verra ça demain midi. Surpriiiise..

Sinon? je viens de cramer 50 euros, en changement de piercing (argenté > noir), bouquins (John Ronald Reuel Tolkien - Le Silmarillion, ma Bible à moi; Dan Simmons - Endymion t.2), et duvudu. "Bomba Megatona!", hurle-je intérieurement depuis les premières images aperçue sur arte dans Tracks (si mes neurones cohèrent toujours), car ce film, mes enfants, ce chef-d'oeuvre qui m'attend sagement sur mon gliglag, constitue à lui seul les bases de ce qu'allait devenir le clip moderne tout comme le MTV-Style. Quelle année? 1964. Et de où? URSS, camarade incrédule. Ouaiiii mais qui? Mikhaïl Kalatosov. Soy Cuba ("Saint Graal" en langage de moi) va d'ici quelques minutes étendre ces ailes de phénix improbable sur ma vieille télé, et inonder mon corps d'une vague bienheureuse et salvatrice. Ma soirée ciné venant de tomber à l'eau - avec embrouille 2000 en cadeau avec une amie -, c'est comme l'Homme, ça tombe à pic (hûhûhûûûû j'adôôôôre le cubiiisme).

Le Soleil se lève à l'Est.

"On va vérifier la légende" (réplique connue).

08:45 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (0)

05.05.2004

( Fin De Journée Inattendue )

Il y a des jours qui mériteraient de leur casser la.. Mais des soirées comme celles-ci, on en partage le récit, et on l'emporte avec soi dans les plus profonds de ses rêves.

Asleep from day too. "17h, la journée peut enfin commencer", ai-je prononcé, incrédule, en passant dans le hall d'entrée, direction dehors. Marche sous la pluie naissante, puis insistante. Nécessité de mettre ce gilet difforme et de faire fleurir mon parapluie noir. Réconfortante fleur-arbre sous laquelle la moitié de la ville n'existe plus à mes yeux. Sous le vent, quelques pétales invisibles s'envolent., je range le bourgeon noir dans mon "sakado". Le manque de lait ressurgissant comme un cadavre négligemment lesté par Sieur Poelvoorde dans une carrière en crue, je fait cap sur le supermarché tout proche, haut lieu de remplissage de frigos et garde-mangers, bas-fond de vidange de porte-blé. Trois petits tours, pendant lesquels une trépidante exposition vivante de personnes atteignant lestement le cinquième âge toutes surmontées de l'indémodable sachet plastique transparent, puis graaaande patience à la caisse.

Hop, de retour chez moi. Re-hop, rangeage (non-non, pas rangement) de yaourts (dont un explosé à mes pieds, home sweet home), curry, steacks (allez, du Charal, soyons fous), lait (1 Tetra Brik de Tetra Pak.. d'ailleurs pourquoi Tetra? Tetra, c'est 4, mais 4 quoi ???), eau (1 bouteille), fromage râpé, riz basmati, nutella, banania (le couple magique!), pizza.. Je reste sous la moyenne nationale de ceux qui ne mangent ni légumes, ni fruits, ex-aequo avec ceux qui ont les lèvres cousues et les morts. Vite, mon PC, Acid 3.0, le dernier morceau sur lequel je bosse et m'éclate. Deux heures plus tard, après muchas corrections et réorganisation profonde, je m'installe dans mon kliklak, bercé par ses premières mesures. Quatre minutes 30 plus tard, mon 233MHz mmx écoutait, ému, mon énième déclaration d'amour muette. Dehors, il pleuvait averse, et j'étais heureux. Hop, pizza américaine dans le four, Guignols..

Soudain (oui, un évènement, un vrai), ma conscience jaillit hors de son igloo (et moi de mon kliklak). "Hîîîîî!! Et ouai maiiiiiiis meeeeeerrrr*eee!!!" Le mardi soir, c'est soit Ciné-Club au Gaumont du coin, soit VO sur La Deux (chaîne belge). Tant pis pour Big Fish VO, tu m'en veux pas, hein, Tim? Je zappouille, jusqu'à la 8, en réfreinant plusieurs envies d'autodafer ma télé, puis tombe enfin sur Etienne Reinhardt, Sieur Cinéma de la télévion nationale belge, présentant le film d'aujourd'huià la présentatrice attitrée de l'émission "La Deux Présente". Et **Shbamm!!** Re-soudain, ce soir c'est Carnaval, Champagne pour mon cerveau, vive les Téléteubés et coup de sang dans les oreilles: Italian For Beginners, film Dogma 95 de Lone Scherfig !! !!

Et me voilà devant une oeuvre toute singulière. Une petite ville calme, une petite dizaine de personnages principaux, un cours du soir d'italien, un nouveau pasteur, une atmosphère apparemment à la Breaking The Waves. Mais, malgré les noeuds psychologiques, les douleurs immenses, les complexes que chacun tient enfermés en lui bien à l'abri des autres, l'ambiance envoûte, attrape le regard du spectateur et ne le lache plus, et l'emporte, souriant comme moi tout à l'heure devant mon PC, dans une chronique à la photo superbe et à l'interprétation plus que convaincante.

Va, film, mange tes 4 étoiles de notation, et va faire connaissance avec 1900, de Giuseppe Tornatore, qui squatte la bande juste avant toi, et qui n'est pas plus mauvais.

(Ecrit en écoutant Múm - Finally We Are No One)

08:50 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)

03.05.2004

( Epilogue )

Bon. Devant la ô combien puissance cérébrale dont je fais preuve ce soir (22h59), du genre "Ouaiiii, un pti mot poétique ça serait pas mal, ça changera des impro habituelles" ou des hésitations qui s'éternisent, devant toute cette belle fraîcheur in the brain, je calitupe.. je paquilute. Je laisse tomber, quoi. Je réfléchirai demain, la nuit porte conseil aux neurones formollés!

Pour finir, une petite citation espiègle et taquine, envoyée par le petit Briareos, d'Olympus, pompée sur le cahier de brouillon du petit (aussi) L. Ordbyron:
"Le sommeil et la Mort sont comme frère et soeur."

"Time to die", donc.

08:55 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (0)

29.04.2004

( Albert Dupontel vs. France )

Allez. Un pti Sigur Ros pour la route. Ce soir, pas de long texte avec de loooongues phrases (quoi, "ouf"?? ^^). J'avais juste envie de citer deux petites choses bien "oualdisnées" (à prendre dans son sens opposé, ndK) de notre Albert, en sympathique Dupontel qu'il est. Elles proviennent de l'interview qu'il a donnée a Stéphanie Lamome, du magazine Première (www.premiere.fr), pour son numéro d'Avril 04.

Ses quelques paroles m'ont particulièrement fait du bien, vu qu'un tiers des numéros de ma télémocande (hihi) est comme neuf, et que c'est ma période Coudboul depuis quelques jours.

"Vous refusez toujours autant de rôles?
- Non, pas tant que ça. D'abord parce que je vieillis et que je deviens un peu pâte molle; ensuite parce que ça commence à devenir difficile pour moi de faire mes propres films puisque je ne suis pas un auteur prime-time. On est en plein maccarthysme, les marchands tiennent la culture par les couilles. Rien ne bouge. Les mêmes types sont au pouvoir depuis trente ans. On se tape les même présentateurs aux infos depuis vingt ans. La France devient un grand hospice où de Funès fait un carton à l'Audimat tandis qu'Halliday bourre le parc des Princes à 60 piges..."

"Où en est ce projet de réalisation intitulé Enfermés Dehors?
- Si j'arrive à monter mon film, ce sera dans des conditions draconiennes, sans argent, en Belgique. Bernie a eu du succès en salles mais il ne vaut rien parce qu'il n'est pas passé à la télé, même à 22h30. Quant à la 6, qui a coproduit Le Créateur, elle n'a passé le film qu'une fois, à minuit! Contractuellement, la télé est obligée d'investir 3% de son chiffre d'affaires dans le cinéma, mais l'année prochaine, les accords vont être renégociés. S'ils ne sont pas reconduits, il se pourrait qu'il n'y ait plus de cinéma en france, comme en Allemagne, en Italie ou en Espagne, des pays qui ont du mal à produire plus de vingt longs métrages par an. Du coup, les chaînes de télé paient pour des films qu'elles veulent pouvoir passer en prime-time. Des fois, elles se gourent, comme avec Blueberry. Mon clochard qui sniffe de la colle et qui est fou d'amour dans un monde fou d'argent, ça n'est pas prime-time!"

Tout ça n'est pas super nouveau, mais n'oublions pas que le départ de Alain De Greef de C+ a fait se rapprocher la meute des fossoyeurs du cinéma français.

Mmmmrrrgrrmblmmrm.

07:50 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (0)

27.04.2004

( And Now For Something Completely Different )

Alors qu'on assiste à la mise en chantier du remake de Assaut de John Carpenter, au coup de gueule moralisant (et fort déplacé venant d'un mec à l'humour qu'on lui connait - quoique) de Jean-Marie Bigard, à l'accueil de Khadafi par le Premier Ministre belge, à l'escalade vers le bas du PAF qui rit au nez des téléspectateurs et de leurs névroses ("Regarde chérie comment qu'on est trop des cons"), aux dernières années d'un cinéma européen au bord de la faillite, et à l'acceptation par l'Union Européenne du premier maïs transgénique, qui malheureusement ("Mais f'est pas graaaave!") lors des tests en laboratoire sur des souris, ont provoqué l'augmentation du taux de globules rouges chez les unes et de globules blancs chez les autres), BREF, à l'heure de tout ça, j'en suis encore à me demander, dans un rongeage préapocalyptique d'ongles, si X-Rock #4 sortira un jour, si Tonari No Totoro en VO passera devant mes yeux, si ma banale névrose n'est pas plutôt du genre socio-apathie paranoïde à tendance dépressive, si Orwell ne s'est pas fait dépasser d'une manière plus vicieuse encore par la réalité, si mes cauchemars s'apaiseront un jour, et si le terrorisme écologique ne serait pas pire que tout..

(wow, c'est pas un roman en une phrase, mais je n'y suis pas passé loin)

Ma télé ne reste pas assez sur 1, je crois. Ou peut-être qu'une tendre lobotomie.. naaaan, j'déconne, pourquoi s'inquiéter? Le prochain Björk sort cet été, et "dans mes mains résonne le silence des étoiles"! Retourne à tes rêves, Kikoo, pour changer. Il se fait tard.
27.04.04 - 23h51

23:50 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (5)

22.04.2004

( Where's Your Head At? )

"Mais qu'est-ce qu'il se passe dans la tête à Kikoo?" Maintes fois question fut posée, maintes fois l'écho se perdit dans les sombres abysses des questions métaexistentielles qui ont pourri la vie mentale d'une poignée d'irréductibles post-humains..


[là, je viens de parcourir des doigts et des yeux la surface de mon avant-bras droit en cherchant une suite aux deux phrases nobellisables de ce bloug]

Et l'écho de la réponse, qui, comme d'habitude, arrive avant la réponse elle-même, et bien l'écho je le met dans ma poche. Et la question avec, tiens (hop). Et j'enchaîne une troisième phrase consécutive commencée par "et", comme la vie est délicieuse et suave, n'est-il pas?

Pour les courageuses et courageux qui restent, passont à quelquechose d'un peu plus quotidien, à savoir la sacro-sainte tranche de vie (sur pain complet) du narrateur. Cette morne journée, entrecoupée de sursauts de lecture et de musique (30 Seconds To Mars et la BO de Spawn) se termine agréablement, assis devant mon 15" sans couleur verte, écoutant Les Rythmes Digitales (damned c'est fini) et tapotant de mes doigts rongés par le stress mon clavier époque Churchill-Roosevelt. Allez, un petit 78 tours de Morcheeba - How Can You Trust (on dit "Mor Tchi Ba", hein, bandes de petits fripons incultes, un peu comme Sonny Chiba, mais mort), et on repart, oreilles grandes ouvertes et nerfs en phase ramolissante.

Mais ouaiiii, Kik, on te croit. Range tes ongles et respire un bol, ça ira mieux.

Eh lectrice, eh lecteur, il m'est arrivé un truc de dingue. Mon amour sans borgnes (pardon, bornes) pour les univers qui caressent la réalité à rebrousse-tignasse ou qui m'enveloppent dans une grosse couette en me murmurant "Viens, on va rêver", bref cet amour s'est pris une maaaaagnifique mandale de première catégorie au rayon des "Oh-my-god".j'ai ENFIN vu Mon Voisin Totoro dans une Salle Obscure.. Ils étaient là, tous les trois, le petit, le moyen et cette grosse barbaque de Totoro, Meï, le camphrier, le Chat-Bus, le crapaud-bufle et les souris aux yeux lumineux. Je ne connaissais Totoro que depuis 96, lors d'un spécial OEil Du Cyclone sur l'anim japonaise, en plein essor à l'époque (me fais vieux, moué), avec 2 scènes-clés du film: le premier anti-fight "Meï VS. Totoro" (je préfère Totoro en VO, paske la VF me fait penser à un quarantenaire qui fais sa grosse voix avec ses cordes vocales en kit) et la fabuleuse croissance nocturne des graines magiques dont la musique m'a marqué pour plusieurs réincarnations.

Donc voilà, des larmes de joie du Sieur Kikoo, complètement bouleversifié du cheveu fourchu à l'ongle pédicuré. Un monument, quoi! certes pas aussi intense et ultime que Timon & Pumba 1/2, mais bon.

Il me reste quelques larmes au congélo, pour les fétichistes des lettres K. Pour cela, consultez la rubrique Goodies (paiement sécurisé), les 4 premier(e)s pourront entendre ma vraie voix dire l'alphabêt en K majeur, sur une compo à la guimbarde de cette grosse baltringue de Danny Elfman, fan ultime de Drew Barrymore devant l'Eternel.

P.Sssst > Kill Bill part 2 vient de sortir en Belgique. I am chlorophylled. ^_^

19:55 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (1)

( Première Bafouille )

..Kikoo créa son blog et se rongea un ongle." Bah oui, il m'en faut peu pour sentir monter le stress et la jubilation d'assister aux premiers murmures d'un blog. Patience, on n'en est qu'aux premiers souffles, et j'entend déjà les échos de ses futurs hurlements! ^_^;

Pour celles et ceux qui ont levé un sourcil, battu des cils, mais sans approcher le doigt de la souris, une nouvelle ère commence.. car le kikooblog va leur muscler la paupière et leur hypertrophier le sourcil!

Chère lectrice, cher lecteur, bienvenue en ce lieu étrange et hors de la réalité. Bienvenue dans ces pages, où le second degré, l'irréel et la folie douce règnent en un triumvirat impossible et jouissif. Bienvenue dans le kikooblog!

13:45 Publié dans Soudain | Lien permanent | Commentaires (2)